Ali, 14 ans, a grandi dans un camp de réfugiés palestiniens au Liban. Après quatre ans passés dans un foyer de demandeurs d’asile allemand, sa famille emménage dans le quartier multiculturel de Kreuzberg à Berlin. Pour être accepté par les autres jeunes, Ali participe au saccage de l’appartement d’Alexander, un octogénaire juif d’origine russe. Reconnu par le vieil homme, il risque des sanctions judiciaires et l’expulsion de sa famille. Seule solution : aider Alexander, lui-même en délicatesse avec les services sociaux, à réparer son logis.
easy love est la première fiction expérimentale de Tamer Jandali. Son travail est passé du documentaire à la fiction lorsqu'il a suivi sept hommes et femmes de Cologne dans leur recherche d'un équilibre entre la sécurité émotionnelle et l'épanouissement sensuel. Au cours des quatre mois de tournage, ces protagonistes se sont comportés comme les versions les plus courageuses d'eux-mêmes. La caméra leur a donné la possibilité de poursuivre leurs rêves, leurs peurs et leurs fantasmes jusqu'à ce qu'ils en fassent l'expérience dans la réalité. En tournant avec une petite équipe, toujours à la limite entre le documentaire et la fiction, Tamer Jandali a créé un espace d'intimité et une nouvelle forme d'authenticité cinématographique.
À Delhi, des amies originaires du nord-est de l'Inde préparent pour un mariage un mets dont les effluves insolites provoquent colère et rires parmi le voisinage.
Laxman est "Electric Man" au Cirque Jubilee. Mais son numéro avec du courant haute tension tourne mal. Il est téléporté dans les années 60. Mais ce qui est le plus problématique est qu'il y trouve son doublon, son frère jumeau ou son sosie. Il va falloir qu'il clarifie cette situation qu'il ne comprend pas. En attendant, de quiproquo en quiproquo, tout part en cacahuètes.
Dans une petite auberge, le pauvre baron de Munchausen essayé d'utiliser pour garder ses histoires sur l'eau. , Il raconte donc comment il a défendu Saint-Pétersbourg pour Catherine des Turcs attaquant. Au cours de cette bataille, il a rencontré l'homme le plus fort du monde (Vladimor) et l'homme le plus rapide du monde (Hermet). Pour vaincre le sultan, il vole sur un boulet de canon dans le camp turc. Retour au palais de l'impératrice, ce qui lui donne un insigne d'honneur. A ce stade, le récit le baron von Constanze est interrompu, l'accusé lui un menteur. Lorsque le baron veut prouver Hironymus que l'histoire était vraie, il remarque que la décoration lui a été volé. Comme il se trouve, la fille du cirque emballement Frieda est le voleur qui a également affirmé Hironymus était son père. Après quelques allers et retours, le baron, Constanze et Frieda font leur chemin vers Saint-Pétersbourg, comme Munchausen ils veulent se débarrasser de sa mère là-bas.
Dix ans après la mort de Trudi et Rudi, leur fils Karl reste inconsolable. Sans emploi alors qu’il était promis à un brillant avenir, il noie sa dépression dans l’alcool et se confine dans la solitude depuis qu'il s'est séparé de sa femme et de leur enfant. Pour tenter de faire face à ses démons, il s’installe dans la maison de ses parents où débarque un jour Yu, la danseuse farfelue qui avait enseigné au Japon l’art du butô à son père...