C’est l’une des plus fascinantes énigmes artistiques qui soit, et depuis des siècles, les plus grands érudits tentent de percer son mystère. De Mark Twain à Charles Dickens en passant par Sigmund Freud, tous se demandent qui a réellement écrit les œuvres attribuées à William Shakespeare. Les experts s’affrontent, d’innombrables théories parfois extrêmes ont vu le jour, des universitaires ont voué leur vie à prouver ou à démystifier la paternité artistique des plus célèbres œuvres de la littérature anglaise. À travers une histoire incroyable mais terriblement plausible, « Anonymous » propose une réponse aussi captivante qu’impressionnante. Au cœur de l’Angleterre élisabéthaine, dans une époque agitée d’intrigues politiques, de scandales, de romances illicites à la Cour, et de complots d’aristocrates avides de pouvoir, voici comment ces secrets furent exposés au grand jour dans le plus improbable des lieux : le théâtre…
2003 : les États-Unis et l’Angleterre souhaitent intervenir en Irak. Katharine Gun, employée des renseignements britanniques, reçoit une note de la NSA : les États-Unis sollicitent l'aide de la Grande-Bretagne pour rassembler des informations compromettantes sur certains membres du Conseil de sécurité de l’ONU et les obliger à voter en faveur de l’invasion. Gun prend alors la décision de divulguer le mémo à la presse afin d’empêcher la guerre. En choisissant d’exposer cette vaste conspiration politique, la lanceuse d’alerte va tout risquer : sa vie, sa famille, sa liberté…
Un jeune militant irlandais réfugié aux États-Unis est chargé de récupérer en contrebande pour l'IRA une importante cargaison de missiles. Pour mener à bien sa mission, il prend une nouvelle identité et trouve refuge dans la famille d'un policier new-yorkais d'origine irlandaise qui ignore tout de ses activités. Une véritable affection nait entre les deux hommes. Mais bientôt le policier se doute du rôle de son hôte.
Judas Ben-Hur, prince de Judée, retrouve son ami d'enfance Messala, venu prendre la tête de la garnison de Jérusalem. Mais leur amitié ne peut résister à leurs caractères différents. Alors qu'une pierre tombe du balcon de la maison familiale de Ben-Hur, manquant de tuer le gouverneur qui paradait plus bas, Messala trahit son ami qu'il sait innocent en l'envoyant aux galères et en jetant en prison sa mère et sa sœur. Ben-Hur jure alors de reconquérir sa liberté et prépare sa vengeance.
En 1971, Ben Bradlee, rédacteur en chef du Washington Post, est informé de l’existence de documents secrets sur l’implication politique et militaire des États-Unis dans la guerre du Vietnam. Comprenant l’énorme impact que peut avoir cette nouvelle pour la relance du journal, il contacte Katharine Graham, l’éditrice, qui tergiverse sur la décision à prendre. Entre-temps, le département américain de la Justice a tôt de fait de bloquer la diffusion, par le New York Times, de ces informations considérées comme un risque pour la sécurité nationale. Loin de se laisser intimider, Bradley met la main sur les 47 volumes de l’étude du département de la Défense grâce à une taupe et entreprend secrètement, avec son équipe de journalistes, la publication d’une série de reportages.
Pour améliorer la protection de l'état, une nouvelle loi sur les télécommunications est proposée aux Américains. Cette loi vise à donner plus de pouvoir aux autorités compétentes, comme l'utilisation de caméras de surveillance et l'écoute téléphonique, dans le but de garantir la sécurité de l'état, aux dépens des libertés individuelles. Robert Clayton Dean, avocat et citoyen américain comme les autres, marié et père d'un petit garçon, reste sceptique lorsque sa femme lui répète que les autorités usent déjà de ces pouvoirs; pourtant, il l'apprendra à ses dépens...
Le sénateur Carroll, candidat démocrate aux élections présidentielles américaines, a été assassiné en 1971, lors d'une conférence de presse-buffet, par l'un des serveurs. Une commission d'enquête ne retient pas l'hypothèse d'une quelconque conspiration et conclut qu'il s'agit d'un acte isolé commis par un déséquilibré. Au cours des trois années qui suivent, la plupart des personnes qui ont assisté à cet événement meurent les unes après les autres à la suite de divers accidents. La journaliste Lee Carter, elle aussi témoin du meurtre de 1971, pense que ces « accidents » sont en réalité des assassinats déguisés : elle fait part de ses craintes à son collègue et ami Joe Frady, mais ne réussit pas vraiment à le convaincre. Cependant, quand Lee est victime à son tour d'un « accident » fatal, Joe Frady, persuadé désormais que la jeune femme ne se trompait pas, décide, sans l'accord de son rédacteur en chef, de mener une enquête approfondie...
L'épopée de Jeanne qui assista, petite fille, au pillage de son village Domrémy par l'armée anglaise. On la suit de sa jeunesse pieuse où des voix l'engagent à délivrer la France de la domination anglaise à sa victoire à Orléans, jusqu'à son procès final et sa mort sur le bûcher, le 30 mai 1431. Elle avait 19 ans.
Durant la guerre du Golfe, le colonel Serling ordonne par erreur de faire feu sur un tank de sa compagnie et cause la mort d'un de ses amis. Six mois plus tard, l'officier toujours sous le choc est affecté à une enquête de routine. Il doit déterminer si le capitaine Karen Walden, pilote d'hélicoptère morte au cours d'une mission de sauvetage, mérite de recevoir la Médaille d'Honneur pour courage au combat. Mais devant les dépositions contradictoires des coéquipiers de Walden, Serling comprend que ceux-ci lui cachent des faits graves.
En 1966, trois ans après l'assassinat du président John F. Kennedy à Dallas, Jim Garrison, procureur de La Nouvelle-Orléans (Louisiane), se plonge dans la lecture du rapport de la commission Warren chargée d'élucider le crime et ayant établi la culpabilité de Lee Harvey Oswald. Les invraisemblances et les « trous » du rapport Warren étonnent Garrison qui décide d'enquêter lui-même sur l'assassinat. Les pistes qu'il découvre avec l'aide d'une petite équipe gagnée à sa cause le mènent à la conclusion que Oswald n'était qu'une « couverture » masquant en fait un véritable complot minutieusement organisé par la CIA, le FBI et le Pentagone afin d'éliminer Kennedy.
Harlan Regis, vétéran de la brigade criminelle de Washington, ayant tout vu et tout entendu, se croit à l'abri des surprises. Une nouvelle enquête va contredire ses certitudes. Une nuit, il est convoqué au 1600 Pennsylvania Avenue, siège du bâtiment officiel le plus célèbre des États-Unis : la Maison-Blanche. Le cadavre d'une jeune blonde, Carla, qui figurait parmi les conquêtes du fils du président, vient d'y être retrouvé dans les toilettes, et tout indique qu'elle a été poignardée à l'issue d'un rendez-vous amoureux dans les appartements de la première famille.