Que dire ? Du Besson moderne ?
Un tas d’os de 40 kg avec deux œufs-au-plat et un cul-plat qui pourrait être reconvertie en table, mise en scène comme une guerrière qui enchaîne des mecs surentraînés qui font deux ou trois fois son poids, voire les prends tous à la fois, avec les inévitables plans « cul », où la – certes jolie – miss squelette est offerte au regard des plus pervers dans des tenues et poses érotiques, sans parler de la cerise sur le gâteau : l’inévitable introduction de scènes homosexuelles.
Côté scénario, on est à mille lieues d’un Nikita.
Côté rebondissements, tout est téléphoné, même si volontairement caché par un jeu absurde de retours dans le passé.
Côté jeu d’acteur, le pire côtoie le ridicule.
Bref, j’ai gaspillé de mon temps d’existence et de mon argent pour une daube subventionnée du cinéma français.