Nothing Else Matters de Metallica sur la bande originale est une surprise encourageante, et si le film se laisse regarder, il n’en reste pas moins très moyen, et du coup traîne en longueur. La faute à un scénario décousu, un humour convenu, une romance à l’eau de rose, et une fin téléphonée. Le tout agrémenté du désormais sempiternel néo-féminisme ici grossier, accompagné de sa touche LGBT, et d’un soupçon d’écolo-bobologisme. C’est à un point où j’ai été étonné de ne pas y trouver le respect du quota BLM.