Jean-Paul et Marianne forment un couple idéal et coulent des jours heureux dans leur villa de Saint-Tropez, jusuq'au jour où arrive Harry, au bras de l'incendiaire Pénélope. Ancien amant de Marianne, l'homme trouble cette vie tranquille. La tension monte.
Alors que la famille Crawley s'apprête à célébrer deux mariages à Downton Abbey, dont celui de Tom Branson et sa fiancée Lucy, la maisonnée se retrouve chamboulée quand un réalisateur hollywoodien débarque sans prévenir pour transformer la demeure en plateau de cinéma. Parallèlement ils apprennent que Lady Violet vient d’hériter d’une villa située dans le sud de la France. La comtesse douairière enjoint alors les membres de sa famille à se rendre sur la Côte d’Azur en quête de son mystérieux passé...
Philippe Abrams est directeur de la poste de Salon‐de‐Provence. Il est marié à Julie, dont le caractère dépressif lui rend la vie impossible. Pour lui faire plaisir, Philippe fraude afin d’obtenir une mutation sur la Côte d’Azur. Mais il est démasqué: il sera muté à Bergues, petite ville du Nord. Pour les Abrams, sudistes pleins de préjugés, le Nord c’est l’horreur, une région glacée, peuplée d’êtres rustres, éructant un langage incompréhensible, le «cheutimi». Philippe ira seul. À sa grande surprise, il découvre un endroit charmant, une équipe chaleureuse, des gens accueillants, et se fait un ami: Antoine, le facteur et le carillonneur du village, à la mère possessive et aux amours contrariées. Quand Philippe revient à Salon, Julie refuse de croire qu’il se plait dans le Nord. Elle pense même qu’il lui ment pour la ménager. Pour la satisfaire et se simplifier la vie, Philippe lui fait croire qu’en effet, il vit un enfer à Bergues.
Le jeune Marcel Pagnol part en Provence avec toute sa famille pour les vacances d'été. Enfant de la ville, c'est la découverte de la nature, des grands espaces et la fierté d'avoir un père grand chasseur. Des vacances qui marqueront à jamais ses souvenirs d'enfance.
Anaïs, douze ans, se trouve complexée par son poids. Tapie dans l'ombre ou laissée pour compte, elle souffre intérieurement. C'est l'été, la mer, les vacances en famille, l'apprentissage du premier amour. Cet apprentissage, Anaïs le fait en observant sa sœur aînée Eléna. Celle-ci, quinze ans, incarne la beauté du diable. Pas plus intelligente, ni plus bête que sa cadette, elle rejette l'idée de n'être qu'un objet de désir. La perte de la virginité des filles va ouvrir la porte au drame.
Appréhendé en 1977 pour avoir conçu, organisé et réussi le célèbre casse de Nice, Albert Spaggiari s'évade du bureau du juge d'instruction. Pendant des années, il va rester insaisissable, résistant à toutes les tentatives de la police.Au cours de sa cavale fabuleuse en Amérique du Sud, il multiplie les rencontres avec des journalistes, fait des photos en forme de pied de nez facétieux au public français.Vincent, reporter, réussit à l'approcher pendant quelques jours dans une ville d'Amérique du Sud et découvre un être qui n'a rien à voir avec le grand banditisme, une sorte de Cyrano de Bergerac, généreux et fauché, souffrant de ne pas profiter davantage de sa gloire, looser grandiose, vantard plein d'humour et de contradictions mais qui reste traqué par la police française.
Suzanne a la quarantaine. Femme de médecin et mère de famille, elle habite dans le sud de la France, mais l'oisiveté bourgeoise de cette vie lui pèse. Elle décide de reprendre son travail de kinésithérapeute qu'elle avait abandonné pour élever ses enfants et convainc son mari de l'aider à installer un cabinet. À l'occasion des travaux, elle fait la rencontre d'Ivan, un ouvrier en charge du chantier qui a toujours vécu de petits boulots et qui a fait de la prison. Leur attraction mutuelle est immédiate et violente et Suzanne décide de tout quitter pour vivre cette passion dévorante.
Dans une calanque près de Marseille, Angèle, Joseph et Armand, se rassemblent autour de leur père vieillissant. C’est le moment pour eux de mesurer ce qu’ils ont conservé de l’idéal qu’il leur a transmis, du monde de fraternité qu’il avait bâti dans ce lieu magique, autour d’un restaurant ouvrier dont Armand, le fils aîné, continue de s’occuper. Lorsque de nouveaux arrivants venus de la mer vont bouleverser leurs réflexions…
Une jeune fille errante est trouvée morte de froid : c'est un fait d'hiver. Était-ce une mort naturelle ? C'est une question de gendarme ou de sociologue. Que pouvait-on savoir d'elle et comment ont réagi ceux qui ont croisé sa route ? C'est le sujet du film. Peut-on faire le portrait d'une fille difficile à saisir et dont toute l'attitude est refus. La caméra s'attache à Mona, racontant les deux derniers mois de son errance. Elle traîne. Installe sa tente près d'un garage ou d'un cimetière. Elle marche, surtout jusqu'au bout de ses forces.
Jacques, grand reporter pour un quotidien français, reçoit un jour un mystérieux coup de téléphone du Vatican. Dans une petite ville du sud-est de la France, une jeune fille de 18 ans a affirmé avoir eu une apparition de la Vierge Marie. La rumeur s’est vite répandue et le phénomène a pris une telle ampleur que des milliers de pèlerins viennent désormais se recueillir sur le lieu des apparitions présumées. Jacques, qui n’a rien à voir avec ce monde-là, accepte de faire partie d’une commission d’enquête chargée de faire la lumière sur ces événements.
En 1852, Violette est en âge de se marier quand son village de montagne est brutalement privé de tous ses hommes suite à la répression des Républicains organisée par Louis-Napoléon Bonaparte. Les mois passent dans un isolement total. Désespérées de revoir un jour leurs hommes, les femmes font un serment : si un homme vient, il sera celui de toutes, afin que la vie continue dans le ventre de chacune.
Après avoir été capturé par des paysans, un enfant sauvage est amené au Docteur Itard, à Paris. La plupart du monde scientifique le considère comme un enfant attardé, mais le Docteur Itard va réussir à éveiller ses capacités intellectuelles. La marge est étroite entre la sauvagerie civilisée de la vie parisienne et les règles brutales de vie dans la nature. Victor trouve un semblant d'équilibre près des fenêtres qui marquent la transition entre l'enfermement et le dehors. Les bougies et les airs de mandoline jouent aussi les médiateurs. Mais Victor paie son adaptation à des relations sociales en perdant sa capacité à vivre comme un sauvage.