Every time history repeats itself, the price goes up.
Ce documentaire cinématographique, inspiré du best-seller A Short History of Progress de Ronald Wright, pose un diagnostic subversif sur le progrès de l’humanité et les pièges qu’il apporte. Le réalisateur Mathieu Roy et co-réalisateur Harold Crooks, par le biais de scènes mémorables et le regard lucide de grandes personnalités tels que David Suzuki, Jane Goodall, Margaret Atwood et Stephen Hawking, sondent la nature fondamentale et dérangeante de ce qui est qualifié de progrès.
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Les quatre cavaliers d'aujourd'hui continuent de faire peu de cas de ceux qui en ont le moins les moyens. Les crises convergent lorsque les gouvernements, les religions et les grands économistes sont au point mort. 23 penseurs internationaux se réunissent et brisent le silence sur le fonctionnement réel du monde et sur les raisons pour lesquelles il y a encore de l'espoir dans le rétablissement d'une société morale et juste. Four Horsemen est à l'abri de la propagande médiatique, ne dénigre pas les banquiers, ne critique pas les politiciens et ne s'implique pas dans les théories du complot. Le film enflamme le débat sur la façon d'introduire un nouveau paradigme économique dans le monde qui, à l'échelle mondiale, améliorerait considérablement la qualité de vie de milliards de personnes.
Ce documentaire montre l'évolution des "Sociétés Anonymes" (appelées Corporations en anglais) aux USA, reprenant leur histoire depuis leur apparition avec la Révolution industrielle, où elles étaient conçues pour répondre au bien public mais furent détournées de cet objectif par la recherche du profit.
La dépression mondiale, dont le coût s'élève à plus de 20 000 milliards de dollars, a engendré pour des millions de personnes la perte de leur emploi et leur maison. Au travers d'enquêtes approfondies et d'entretiens avec des acteurs majeurs de la finance, des hommes politiques et des journalistes, le film retrace l'émergence d'une industrie scélérate et dévoile les relations nocives qui ont corrompu la politique, les autorités de régulation et le monde universitaire. Narré par l'acteur oscarisé Matt Damon, le film a été tourné entre les États-Unis, l'Islande, l'Angleterre, la France, Singapour et la Chine.
Sur une musique de Philip Glass se succèdent des images de nature, de vies sociales, d'individus, de paysages somptueux arrachés à la paix de la Création par des bulldozers, des brouillards de pollution...
Mi-drame, mi-documentaire, ce film montre l'impact humain néfaste des réseaux sociaux. Des experts en technologie tirent la sonnette d'alarme sur leurs propres créations.
David Attenborough et le scientifique Johan Rockström examinent l'effondrement de la biodiversité sur Terre et la manière dont cette crise peut encore être évitée.
Ce film tente de cerner les causes principales d'une supposée corruption sociale envahissante, et d'offrir une solution. Cette dite solution n’est pas basée sur la politique, la moralité, les lois, ni aucune autre constitution, mais plutôt sur une compréhension moderne et non-superstitieuse de ce que l’on est et de notre lien à la nature auquel nous appartenons. Cette œuvre préconise un nouveau système social adapté à la connaissance moderne, notamment influencé par le travail de Jacque Fresco et du Venus Project. À la fin, le film invite à rejoindre une organisation internationale qui plaide pour la construction d'un monde durable : « le Mouvement Zeitgeist ». Le film est disponible sur Internet gratuitement et propose un système alternatif à la société actuelle fondé sur un Modèle Économique Basé sur les Ressources.
Le krach de 2008 n'a pas mis fin aux manœuvres financières peu judicieuses. Les banquiers se sont tournés vers des entreprises en Chine pour attirer les investisseurs.
Le titre Zeitgeist est une expression allemande qui veut dire « esprit du temps », en faisant allusion à l'expérience du climat culturel dominant. Le site web officiel déclare que Zeitgeist, The Movie et sa suite Zeitgeist : Addendum ont été créés sans but lucratif pour communiquer les conclusions des auteurs. Peter Joseph utilise des appuis historiques et modernes afin de montrer que ces conclusions sont censurées par les institutions sociales actuelles dominantes.
Le film se veut une déconstruction méthodique de trois grands événements ou mythes qui présideraient au fonctionnement des sociétés occidentales
Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, le PIB (produit intérieur brut) est devenu l'indicateur suprême du capitalisme. Pour les États et les institutions financières, dans les salles de marché et la direction des entreprises, la quête de croissance économique s'impose comme une obsession. Afin d'assurer la prospérité des populations, il n'y aurait pas d'autre alternative que de produire toujours plus de biens et de services, quel que soit le prix à payer au niveau social ou environnemental.
Ce film met en lumière les conséquences que le fossé qui se creuse entre riches et pauvres a sur les différentes strates de la société aux États-Unis et au Royaume-Uni.
Depuis cinq ans, Goldman Sachs incarne les excès et les dérives de la spéculation financière. Anatomie d'un pouvoir qui ne connaît ni frontières ni limites et menace directement les démocraties.
Vue comme la prochaine Steve Jobs, Elizabeth Holmes est devenue milliardaire grâce à la montée fulgurante de son entreprise, Theranos, qui promettait une révolution médicale. Or, deux ans plus tard, sa compagnie était dissoute. Ce documentaire révèle les secrets derrière ce qui pourrait être une des plus importantes fraudes de la Silicon Valley.
Dans les pays occidentaux, on peste contre des produits bas de gamme qu'il faut remplacer sans arrêt. Tandis qu'au Ghana, on s'exaspère de ces déchets informatiques qui arrivent par conteneurs... Ce modèle de croissance aberrant qui pousse à produire et à jeter toujours plus ne date pas d'hier. Dès les années 1920, un concept redoutable a été mis au point : l'obsolescence programmée. "Un produit qui ne s'use pas est une tragédie pour les affaires", lisait-on en 1928 dans une revue spécialisée. Peu à peu, on contraint les ingénieurs à créer des produits qui s'usent plus vite pour accroître la demande des consommateurs.
À une époque où les inégalités sociales entre les riches et les pauvres n'ont jamais été aussi prononcées, l'évasion fiscale est pointée du doigt. Plusieurs experts parlent de cette réalité d'ordre mondial dont la pierre d'assise se trouve dans le quartier financier de Londres. Depuis le démantèlement de l'État-providence au courant des années 80, un flou juridique permet à des entreprises de s'enrichir en payant peu ou pas d'impôts. Une tendance qui s'est accentuée avec l'avènement de l'internet et qui menace la démocratie. Quelques citoyens proposent toutes des pistes de solutions pour contrer ce phénomène avant qu'il ne soit trop tard.
Michael Moore relate la suppression de 30 000 emplois dans les usines General Motors dans sa ville natale, Flint dans le Michigan, et leurs conséquences sur la population.
Avec la force d’une analyse toujours très argumentée et documentée, le célèbre linguiste américain Noam Chomsky s’exprime sur les mécanismes de concentration des richesses, avec une lucidité contagieuse. Il expose clairement les principes qui nous ont amenés à des inégalités sans précédent, retraçant un demi-siècle de politiques conçues pour favoriser les plus riches. Une boite à outils pour comprendre le Pouvoir et gagner beaucoup de temps.
Le bakchich généralisé à l'école permet-il d'avoir de meilleures notes ? Le prénom choisi par vos parents forge-t-il votre destin ? Les lutteurs de sumo sont-ils véritablement au dessus de tous soupçons ? Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l'économie, sans oser le demander, Freakonomics vous le révèle.
Ancien secrétaire au Travail sous la présidence de Bill Clinton et actuel professeur à l'université Berkeley, Robert Reich soutient avec ferveur depuis toujours que l'accroissement des inégalités salariales constitue l'une des menaces les plus graves pour l'économie et la démocratie. Analysant les origines de cette situation et ses conséquences à court terme, il pointe également les nombreux défis à relever avec cette facilité déconcertante qui lui est propre : celle de rendre accessible à tous des principes d'une grande complexité.
Michael Moore revient sur la question qu'il a examinée tout au long de sa carrière : l'impact désastreux de la domination des entreprises sur la vie quotidienne des Américains (et, par défaut, sur le reste du monde). Michael Moore s'attaque à la crise financière et prend d'assaut Wall Street, en dénonçant "la plus grande escroquerie de l'histoire américaine".
Collapse retrace le parcours de Michael Ruppert, un officier de police devenu journaliste indépendant. Il avait prédit la crise financière actuelle dans sa newsletter, From the Wilderness.
En 2007, Naomi Klein publiait La Stratégie du choc.Un traumatisme collectif, une guerre, un coup d'état, une catastrophe naturelle, une attaque terroriste plongent chaque individu dans un état de choc. Après le choc, nous redevenons des enfants, désormais plus enclins à suivre les leaders qui prétendent nous protéger. S'il est une personne à avoir compris très tôt ce phénomène, c'est Milton Friedman, Prix Nobel d'économie en 1976.Friedman, soutenant l'ultralibéralisme, conseilla aux hommes politiques d'imposer immédiatement après une crise des réformes économiques douloureuses avant que les gens n'aient eu le temps de se ressaisir. Il qualifiait cette méthode de traitement de choc.Naomi Klein la qualifie de "stratégie du choc".En utilisant de nombreuses images d'archives, Michael Winterbottom et Mat Whitecross démontrent la puissance du texte de Naomi Klein et la nécessité de résister.
Un immeuble de banque abandonné. Un banquier d'affaires de haut rang. Un regard inquiétant dans un monde parallèle. Rainer Voss était l’un des principaux banquiers d’affaires allemands. A lui seul, il générait plus d’un million d’Euros de profit chaque jour. Aujourd’hui, dans une tour désertée du quartier financier de Francfort, il se raconte : son ascension dans les années 1980, la libéralisation à outrance, la dérégulation et les «innovations financières» qui ont pu offrir à leurs initiateurs la sensation d’être les véritables « maîtres de l’univers ».
Joel Bakan et Jennifer Abbott, cinéastes du succès mondial The Corporation, reviennent avec cette suite percutante et opportune. Ils révèlent comment la prise de contrôle de la société par les entreprises est justifiée par leur rebranding sournois en tant qu’entités socialement conscientes. Des rassemblements de hauts dirigeants à Davos, au changement climatique en passant par la spirale des inégalités, la montée de l’extrême droite, la COVID-19 et l’injustice raciale, le film s’intéresse au pouvoir dévastateur des entreprises.