In suburban Buenos Aires, thirty unemployed ceramics workers walk into their idle factory, roll out sleeping mats and refuse to leave. All they want is to re-start the silent machines. But this simple act - the take - has the power to turn the globalization debate on its head. Armed only with slingshots and an abiding faith in shop-floor democracy, the workers face off against the bosses, bankers and a whole system that sees their beloved factories as nothing more than scrap metal for sale.
La dépression mondiale, dont le coût s'élève à plus de 20 000 milliards de dollars, a engendré pour des millions de personnes la perte de leur emploi et leur maison. Au travers d'enquêtes approfondies et d'entretiens avec des acteurs majeurs de la finance, des hommes politiques et des journalistes, le film retrace l'émergence d'une industrie scélérate et dévoile les relations nocives qui ont corrompu la politique, les autorités de régulation et le monde universitaire. Narré par l'acteur oscarisé Matt Damon, le film a été tourné entre les États-Unis, l'Islande, l'Angleterre, la France, Singapour et la Chine.
Ce documentaire montre l'évolution des "Sociétés Anonymes" (appelées Corporations en anglais) aux USA, reprenant leur histoire depuis leur apparition avec la Révolution industrielle, où elles étaient conçues pour répondre au bien public mais furent détournées de cet objectif par la recherche du profit.
Avec la force d’une analyse toujours très argumentée et documentée, le célèbre linguiste américain Noam Chomsky s’exprime sur les mécanismes de concentration des richesses, avec une lucidité contagieuse. Il expose clairement les principes qui nous ont amenés à des inégalités sans précédent, retraçant un demi-siècle de politiques conçues pour favoriser les plus riches. Une boite à outils pour comprendre le Pouvoir et gagner beaucoup de temps.
Joel Bakan et Jennifer Abbott, cinéastes du succès mondial The Corporation, reviennent avec cette suite percutante et opportune. Ils révèlent comment la prise de contrôle de la société par les entreprises est justifiée par leur rebranding sournois en tant qu’entités socialement conscientes. Des rassemblements de hauts dirigeants à Davos, au changement climatique en passant par la spirale des inégalités, la montée de l’extrême droite, la COVID-19 et l’injustice raciale, le film s’intéresse au pouvoir dévastateur des entreprises.
En 1999, Andy Bichlbaum et Mike Bonanno créent un site internet parodique qui imite celui de la toute-puissante Organisation Mondiale du Commerce. Leur imitation n’est pas trop mauvaise puisque, rapidement, des gens commencent à visiter leur site sans réaliser qu’il s’agit d’une plaisanterie ! Certains n’hésitent pas à poser des questions sur la libéralisation du commerce, et nos joyeux imposteurs décident d’y répondre de leur mieux…
China Blue dresse le portrait de Jasmine, jeune ouvrière chinoise ayant quitté sa campagne pour pouvoir travailler dans une fabrique de jeans près de Canton. Elle y témoigne, avec pudeur et sincérité, des conditions de travail qui sont les siennes dans le seul but de pouvoir fabriquer des vêtements bon marché. Ce documentaire offre un rare aperçu de la transformation rapide de la Chine et de ses conséquences. A l'opposé de l'image de travailleuses soumises, le film révèle une volonté farouche de se défendre et de résister.
Avec We Feed the World, le documentariste Erwin Wagenhofer propose aux spectateurs un regard sur l'agriculture mondiale moderne. En passant par la Roumanie, l'Autriche, le Brésil, la France et l'Espagne, son enquête se focalise sur la manière dont est fabriqué ce qui arrive dans notre assiette. Il montre que la domination du Nord sur le Sud est prégnante. Comment est-il possible qu'en Afrique l'on achète des produits européens ou asiatiques comme le poulet thaïlandais ? Le réalisateur présente une face peu connue de la mondialisation : en achetant un poulet industriel, on contribue au défrichement de l'Amazonie car le Brésil déforeste pour cultiver le soja qui sert à nourrir les volailles élevées en batterie (90% de la production de soja du Brésil sont exportés). Le documentaire souligne également la différence entre industrie agroalimentaire et petite exploitation. We Feed the World adopte un style « coup de poing » visant à éveiller les consciences.
Ce film met en lumière les conséquences que le fossé qui se creuse entre riches et pauvres a sur les différentes strates de la société aux États-Unis et au Royaume-Uni.
Ce film tente de cerner les causes principales d'une supposée corruption sociale envahissante, et d'offrir une solution. Cette dite solution n’est pas basée sur la politique, la moralité, les lois, ni aucune autre constitution, mais plutôt sur une compréhension moderne et non-superstitieuse de ce que l’on est et de notre lien à la nature auquel nous appartenons. Cette œuvre préconise un nouveau système social adapté à la connaissance moderne, notamment influencé par le travail de Jacque Fresco et du Venus Project. À la fin, le film invite à rejoindre une organisation internationale qui plaide pour la construction d'un monde durable : « le Mouvement Zeitgeist ». Le film est disponible sur Internet gratuitement et propose un système alternatif à la société actuelle fondé sur un Modèle Économique Basé sur les Ressources.