Dalida, (titre lors de la diffusion TV : « Dalida, le film de sa vie ») est un téléfilm franco-italien réalisé par Joyce Buñuel avec Sabrina Ferilli, Christophe Lambert et Charles Berling. Téléfilm en deux parties de 90 minutes, diffusé le 2 et le 3 mai 2005 sur France 2. Ce téléfilm biographique retrace la vie de la chanteuse Dalida. Alors qu'elle se préparait à une carrière de comédienne, elle décide de quitter son Égypte natale pour tenter sa chance à Paris. Elle rencontre Lucien Morisse qui va lui permettre d'entamer une belle carrière. Dalida et Lucien se marient puis se quittent. D'autres amours passionnelles mais trop brèves vont peu à peu détruire son âme en profondeur à cause de leurs fins brutales et violentes. Son désir d'enfant inassouvi achèvera son déclin, la poussant au suicide.
Au lendemain de l'insurrection de 1837, huit cents patriotes sont enfermés à la prison de Montréal. Parmi eux, une centaine de condamnés à mort. Au petit matin du 14 février 1839, Marie-Thomas Chevalier De Lorimier et Charles Hindelang apprennent qu'ils seront pendus le lendemain.
Lucie Baud naît en 1870 dans une famille de paysans pauvres de la région de Grenoble. A douze ans, elle entre comme apprentie dans une filature de soie et se marie à 20 ans avec un garde champêtre. A la mort de son mari, Lucie se retrouve seule alors que les patrons de la filature décident de baisser les salaires et d’augmenter les cadences. C’est la grève. Lucie se dresse en première ligne face au patron, soutenue par Auda, un syndicaliste qui affermit sa détermination, l’éduque politiquement, et ne tarde pas à lui faire la cour avec succès. Lucie Baud se jettera corps et âme contre « l’infinie servitude des femmes ».
Quelque part dans le monde, une guerre fait rage. Terrifié à l’idée d’être mobilisé, Philippe a fui Montréal pour se réfugier dans un Ouest américain aussi sauvage qu’hypnotisant. Il vit tant bien que mal de concours d'imitation de Charlie Chaplin. Mais la cruauté de l’humanité ne se limite pas aux champs de bataille, et Philippe ne va pas tarder à découvrir la face obscure du rêve américain.
Il est le Dieu vivant de la 9e puissance nucléaire du monde. Un jeune homme élevé en secret pour prendre la relève de la dictature nord-coréenne, entreprise familiale de père en fils. On ne connait de lui que les images amusantes, absurdes, et parfois terrifiantes, que la propagande de Pyongyang diffuse de lui. Nous avons enquêté pour découvrir les réseaux du dictateur : en Suisse, pour rencontrer les camarades et les professeurs de son enfance ; au Japon, avec le cuisinier de la famille ; en France, auprès de ses proches qui… s'y soignent ou s'y réfugient ; aux États-Unis, avec la CIA qui déploie des trésors d'imagination pour l'espionner ; en Corée du Sud auprès de réfugiés qui l'ont côtoyé ; en Corée du Nord enfin, pour découvrir l'incroyable machine à son service. « Le Dernier Prince rouge » cache des secrets surprenants et qui éclairent l'avenir de la Corée du Nord.
Fin des années 50, début des années 60, la guerre d’Algérie se prolonge. Salah, Kaddour et d’autres jeunes Algériens sans ressources rejoignent l’armée française, en tant que harkis. Á leur tête, le lieutenant Pascal. L'issue du conflit laisse prévoir l'indépendance prochaine de l'Algérie. Pascal s’oppose à sa hiérarchie pour obtenir le rapatriement en France de tous les hommes de son unité.
Au matin du 26 août 1883, le volcan Krakatoa que tous croyaient éteint se réveille. Le 27 août, il est secoué par une explosion d’une rare violence. L’éruption est suivie d’un tsunami . La catastrophe provoque la mort de milliers de personnes, sur le mer et sur les rivages proches de Java et Sumatra. Une première explosion énorme projette 20 km³ de rochers dans l’atmosphère et forme un immense trou béant au fond de la mer. Des millions de litres d’eau s’y engouffrent, provoquant une deuxième explosion gigantesque. On entend la déflagration jusqu’à Brisbane distant de 4 000 km. Un énorme tsunami balaye les côtes tuant 36 000 personnes, parcourant des milliers de kilomètres, observé jusqu’à San Francisco.
La vie et l'œuvre de la philosophe politique allemande d'origine juive Hannah Arendt (1906-75), qui a fait sensation en inventant un concept subversif, la banalité du mal, dans son livre de 1963 sur le procès du criminel de guerre nazi Adolph Eichmann (1906-62), qui s'est tenu en Israël en 1961 et qu'elle a couvert pour le magazine New Yorker.
A New York, le “pick-up basketball” n'est pas seulement un sport, il est un mode de vie. Doin’ It In The Park explore ce mouvement à travers les témoignages des acteurs mêmes du playground. Ils sont amateurs, hommes, femmes, incarcérés, handicapés, ou encore des légendes, des athlètes de la NBA ou des journalistes sportifs, tous partagent cet amour inconditionnel pour le basketball outdoor et ses vertus récréatives, sportives et sociales.
Fils du légendaire jockey Ray Oliver, disparu tragiquement dans un accident de voiture, Damien Oliver reprend le flambeau familial et décide de participer à la célèbre Melbourne Cup.
Il y a vingt ans, le 11 septembre 2001, des attentats d’une ampleur inédite frappent les États-Unis. Deux avions s’écrasent sur les tours du World Trade Center, en plein cœur de New York. Un autre appareil percute le Pentagone pendant qu’un quatrième s’écrase dans la campagne, après une lutte entre ses passagers et les terroristes qui en avaient pris le contrôle. L’effondrement des deux tours, vécu en direct par des millions de personnes, plonge le monde dans la stupeur. Vingt ans après, à l’aide d’archives visuelles et sonores, témoins des échanges entre équipages, pompiers et personnalités publiques ou anonymes, voici un récit de cette journée funeste.
Meet Me In the Bathroom est un voyage immersif à travers la scène musicale new-yorkaise du début des années 2000, avec des images inédites d'artistes comme Yeah Yeah Yeahs, The Strokes, Interpol et LCD Soundsystem. Dans le contexte du 11 septembre, le film raconte comment une nouvelle génération a déclenché une renaissance musicale à New York qui s'est répercutée dans le monde entier. Inspiré du livre de Lizzy Goodman.
Documentaire d' images d'archives, d'entretiens et d'extraits sonores d'une poignée de pionnières, américaines, britanniques et françaises, de la musique électronique expérimentale. Même si le film prend bien soin de souligner les différences entre elles et leurs intentions distinctes, on effleure à la peine la surface en une heure et demi.
En toile de fond, le Printemps de Prague et l’invasion de la Tchécoslovaquie par le pacte de Varsovie en 1968. Tomáš et son jeune frère se retrouvent au milieu du défilé du 1er mai 1968 devant le bâtiment de la radio tchèque. Le département de la radio étrangère était connu pour ses reportages indépendants malgré la censure qui y règne.
L'histoire se déroule à Cologne-Ehrenfeld en novembre 1944. Karl et Peter Ripke sont deux frères membres d'un groupe anti-nazi se nommant « Pirates Edelweiss». D'autres jeunes allemands font aussi partie de ce groupe révolté contre la Gestapo. Ils sont également aidés par un prisonnier rescapé, Hans Steinbrück, qui est littéralement opposé aux nazis. Un jour, la Gestapo arrête les opposants des nazis, et le groupe de Karl et Peter est menacé. Quand ils sont arrêtés, Karl est déchiré entre la volonté de survivre, le sens des responsabilités, l'amour pour son frère et la fidélité au groupe de l'Edelweiss. Il se retrouve donc confronté à la situation suivante : survivre et sauver son frère des mains de la Gestapo en trahissant son groupe ou mourir en faisant honneur à l'Edelweiss ? Cette guerre a changé la vision du monde des jeunes allemands comme on ne l'aurait jamais imaginé, et ce film le démontre très bien.