Equal parts punk and psychedelia, the Flaming Lips emerged from Oklahoma City as one of the most bracing bands of the late 1980s. The Fearless Freaks documents their rise from Butthole Surfers-imitating noisemakers to grand poobahs of orchestral pop masterpieces. Filmmaker Bradley Beesely had the good fortune of living in the same neighborhood as lead Lip Wayne Coyne, who quickly enlisted his buddy to document his band's many concerts and assorted exploits. The early footage is a riot, with tragic hair styles on proud display as the boys attempt to cover up their lack of natural talent with sheer volume. During one show, they even have a friend bring a motorcycle on stage, which is then miked for sound and revved throughout the performance, clearing the club with toxic levels of carbon monoxide. Great punk rock stuff. Interspersed among the live bits are interviews with the band's family and friends, revealing the often tragic circumstances of their childhoods and early career.
Avant Bad Brains, avant les Sex Pistols, avant les Ramones, avant même le punk, il y avait les proto punk rockers black de Death. Un trio composé de Bobby, David et Dannis Hackney. Les trois frangins ont enregistré en 1976 un single, Politicians in my eyes, avant de tomber dans l’oubli. La faute à l’intransigeance du groupe qui n’a pas voulu changé de nom pour signer avec une maison de disques… La faute à cette infection du dance floor qui relégua le rock aux oubliettes : le disco.
Depuis, de l’eau a coulé sous les ponts. Les Hackney Brothers ont déménagé dans le Vermont, l’aîné, David, a succombé à un cancer du poumon en 2000, Bobby et Dannis ont formé un groupe de reggae (Lamsbread)…
A travers images d'archives et témoignages des protagonistes, ce film revient sur l'émergence de la scène punk américaine dans les années 80, avec des groupes tels que Black Flag, Bad Brains ou Fugazi.
L’épopée des Stooges présente le contexte dans lequel l'un des plus grands groupes de rock de tous les temps a émergé musicalement, culturellement, politiquement et historiquement. Jim Jarmusch retrace leurs aventures et leurs mésaventures en montrant leurs inspirations et les motivations de leurs premiers défis commerciaux, jusqu’à leur arrivée au Panthéon du rock.
Documentaire d' images d'archives, d'entretiens et d'extraits sonores d'une poignée de pionnières, américaines, britanniques et françaises, de la musique électronique expérimentale. Même si le film prend bien soin de souligner les différences entre elles et leurs intentions distinctes, on effleure à la peine la surface en une heure et demi.
Paris est probablement la ville qui a été la plus chantée au monde. De « Sous le ciel de Paris » aux « Champs-Élysées », de « J'ai deux amours » à « Paname », de « Revoir Paris » à « I Love Paris », ses monuments, ses ruelles, ses ponts, ses quartiers, son histoire et son art de vivre n'ont jamais cessé d'inspirer les plus grands artistes.