The Stella Maris Berria is a tuna vessel destined for scrapping. However, Iñigo Mijangos and Iñigo Gutierrez, two members of the NGO Salvamento Marítimo Humanitario, have an unusual idea: to transform the fishing boat into a rescue boat to save refugees drowning in the Mediterranean Sea. That is how Aita Mari was born.
Samuele a 12 ans et vit sur une île au milieu de la mer. Il va à l'école, adore tirer et chasser avec sa fronde. Il aime les jeux terrestres, même si tout autour de lui parle de la mer et des hommes, des femmes, des enfants qui tentent de la traverser pour rejoindre son île. Car il n'est pas sur une île comme les autres. Cette île s'appelle Lampedusa et c'est une frontière hautement symbolique de l'Europe, traversée ces 20 dernières années par des milliers de migrants en quête de liberté.
Gabriela Cámara, la star des chefs restaurateurs de Mexico, ouvre l'annexe Cala à San Francisco, avec une carte similaire et une ambiance exceptionnellement accueillante.
Ce documentaire capture la joie et le chagrin de familles séparées par la frontière entre le Mexique et les États-Unis lors de brèves retrouvailles en 2018.
Fernand Melgar porte son regard vers la fin du parcours migratoire. Au centre de détention administrative de Frambois, des hommes sont emprisonnés dans l’attente d’un renvoi du territoire helvétique. Leur demande d’asile a échoué, ils sont sommés de repartir après, pour certains, avoir passé plusieurs années en Suisse, travaillé, payé des impôts, fondé une famille.
En Libye, des milliers de migrants venus de toute l'Afrique sont parqués dans des centres de détention aux conditions inhumaines, dans l'attente que l'Europe et l'ONU statuent sur leur sort. État sanitaire déplorable et surpopulation, travail forcé, tortures, viols, meurtres, enlèvements avec demande de rançon aux familles restées au pays ou vivant à l'étranger : officiellement tenus par le gouvernement libyen, reconnu par la communauté internationale, ces camps sont en réalité entre les mains des milices corrompues qui contrôlent le pays. Pour elles, les migrants représentent avant tout une manne financière.
De 1931 à 2002, la Suisse a délivré quelque six millions d’autorisations de séjour saisonnier à des travailleurs immigrés. Ce statut leur interdisait de venir en Suisse avec leur famille. Dans une série de lettres ouvertes, d’anciens saisonniers partagent leurs premières expériences de vie à Genève et l’effet que ce statut a eu sur leur histoire familiale.