En 1681, un luthier italien réserve pour son enfant sur le point de naître un violon d'une perfection inégalée. Cent ans plus tard, l'instrument se retrouve entre les mains d'un orphelin autrichien qui devient l'élève d'un compositeur français. Au XIXe siècle, le violon appartient à un virtuose anglais, amoureux fou d'une romancière. Après un détour en Chine durant la révolution culturelle, le précieux instrument se retrouve de nos jours à Montréal où il est mis aux enchères, après son authentification par un expert américain.