C'était un des réalisateurs les plus cotés d'Amérique. Mais maintenant...
Val Waxman, un réalisateur qui a connu son heure de gloire dans les années quatre-vingt, met aujourd'hui en scène de simples spots publicitaires. À Hollywood, certains le traitent d'artiste, d'intello ou de perfectionniste maniaque, tandis que d'autres le considèrent comme un fauteur de trouble, un nombriliste névrosé et un incurable hypocondriaque.Val vient d'être viré de son dernier tournage au Canada. Il se sait au bout du rouleau. C'est alors que son ex-femme, Ellie, lui offre une chance inespérée de se refaire. Elle suggère au puissant producteur Hal Yeager, son patron et amant, de confier à Val la réalisation d'un film de 60 millions de dollars : « The City that never sleeps », une ode à sa ville favorite : New York. Poussé par son agent Al Hacks, Val emporte de justesse le contrat. Mais une « petite complication » surgit à la veille du tournage.
Un ancien militaire aveugle au tempérament difficile entreprend un périple à New York en compagnie d'un collégien qui a été engagé pour veiller sur lui.
Un vagabond s’éprend d’une belle et jeune vendeuse de fleurs aveugle qui vit avec sa mère, couverte de dettes. Suite à un quiproquo, la fleuriste s’imagine le misérable, qui vient de lui acheter une fleur, en milliardaire…
Jonathan Safran Foer (Elijah Wood) est un collectionneur de mémoire : des photos, des cartes, des fausses dents, des mains sales... Tous les objets qu'il collectionne sont scellés dans des sacs et montés sur un mur. À la mort de sa grand-mère, Jonathan reçoit une très ancienne photo pour sa collection : son grand-père accompagné d'une jeune Ukrainienne du temps de la Seconde Guerre mondiale. Ainsi débute l'aventure de Jonathan Foer, un jeune juif des États-Unis, qui se rend en Ukraine à la recherche d'Augustine, la femme qui sauva son grand-père des nazis en 1942. Ce film est basé sur l'histoire vécue de Jonathan Safran Foer.
Un acteur de télévision déchu et son cascadeur s'efforcent de se faire connaître et de réussir dans l'industrie cinématographique au cours des dernières années de l'âge d'or de Hollywood en 1969 à Los Angeles.
Los Angeles des années 1920. Récit d’une ambition démesurée et d’excès les plus fous, le film retrace l’ascension et la chute de différents personnages lors de la création d’Hollywood, une ère de décadence et de dépravation sans limites.
New York 1941. Barton Fink, jeune dramaturge, rencontre le succès grâce à un roman populaire. Hollywood s'intéresse à lui et Wallace Beery le charge d'écrire des scénarios sur le monde des lutteurs. Fink va découvrir les mystères d'Hollywood, l'angoisse de la page blanche et un étrange voisin qui lui révélera quelques secrets sur l'art de l'existence...
Hollywood, 1927. l'acteur George Valentin triomphe dans des films muets rocambolesques, en compagnie de son inséparable jack russell. Un jour, une admiratrice, l'aspirante comédienne Peppy Miller, apparaît inopinément avec lui sur une photo prise avant un gala, ce qui lui ouvre les portes des grands studios. Après une figuration aux côtés de la vedette, Peppy enchaîne les troisièmes rôles. Mais deux ans plus tard, avec l'avènement du parlant, elle devient la coqueluche de Hollywood, pendant que le très fier George, blessé par les propos de la jeune star ambitieuse et abandonné par sa femme, persiste à produire et tourner un film muet, qui connaît un cuisant échec commercial. Tombé dans l'oubli, au bord de la déchéance, il refuse l'aide pourtant sincère de Peppy.
Pour sauver le candidat Président des Etats-Unis, éclaboussé par un scandale de mœurs quelques jours avant l'élection présidentielle, ses conseillers décident, pour détourner l'attention des électeurs, d'inventer une guerre dans quelque coin obscur de la vieille Europe.
Sandy Bates, cinéaste, traverse une crise existentielle. Il ne supporte plus les exigences de ses admiratrices, ni les questions de l'intelligentsia new-yorkaise. Son déplacement à un festival consacré à son œuvre lui permet de faire un point sur son travail et sa vie. Woody Allen fait son « Huit et demi ».
Rien ne va plus pour le réalisateur Viktor Taransky : son dernier film est un navet monumental. Pour ajouter à la confusion, Nicola Anders, l'actrice principale de son nouveau long métrage, vient de quitter soudainement le plateau de tournage. Sans elle, l'oeuvre de Viktor n'a plus de raison d'être. Elaine, son ancienne femme, maintenant à la tête du studio qui l'a engagé, met fin à son contrat. Quelques mois plus tard, Viktor reçoit Simulation One, un logiciel révolutionnaire provenant d'un fan, Hank Aleno, un informaticien génial. Ce programme permet, à l'aide d'un simple clic de souris, d'animer à l'écran une actrice virtuelle au réalisme confondant, S1m0ne. Il lui vient alors une idée de génie : utiliser les possibilités offertes par ce logiciel pour terminer son film. Rapidement, la jeune femme séduit les foules et Viktor renoue avec le succès…
Évocation de la vie d'Ed Wood, réalisateur considéré de son vivant comme le plus mauvais de tous les temps. Aujourd'hui, il est adulé et vénéré par des milliers d'amateurs de bizarrerie et de fantastique à travers le monde.