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Movie lists

Latest reviews:

Les Dieux d'Égypte - Gods of Egypt (2016) Les Dieux d'Égypte (2016)
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**La Leçon de l'Amour d'un Ancien Dieu.** Les Dieux d’Égypte commence par son royaume avec un style de superproduction péplum et ses personnages. Un royaume avec sa sagesse puis sa violence sur un effet moderne, lance sa sombre histoire. Pouvoirs, trahisons et pièges, renouent brillamment avec le Péplum aux sublimes créatures divines. L’Épique combat de l'espoir face au Chaos et le destin royal du Dieu de l'Air avec un rythme d'enfer et Fx impressionnants assurent le spectacle. L'aventure accélère dans son ultime plan machiavélique, car divertissant ou édulcoré le choix est inflexible.

O'Brother - O Brother, Where Art Thou? (2000) O'Brother (2000)
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Vieux film des frères Cohen qui, sans être de leurs meilleurs, mérite d’être revu pour se faire plaisir avec les interprètes qui s’amusent comme des fous mais aussi pour réviser l’Odyssée d’Homère… très arrangé par les frangins mais truffé de références à l’original, mais de références à la sauce américaine. Laquelle Amérique US en prend pour son grade derrière la farce déjantée. Les interprètes sont excellents, drôles et ne se prennent pas au sérieux. C’est vif, tonique, bien délirant : une bonne comédie.

The Old Guard (2020) The Old Guard (2020)
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« **The Old Guard** » est un très bon film d’action disposant d’une histoire avec une pointe d’originalité, une intrigue familière et un développement classique. Le rythme est soutenu, le récit est fluide et la narration fait appel à quelques flashbacks. La photographie est très agréable avec une multitude de paysages, d’endroits et de luminosité. La bande musicale est très sympathique et le montage apporte du dynamisme. La distribution offre de très bonnes prestations et **Charlize Theron** démontre une nouvelle fois qu’elle peut assumer les rôles percutants, là où **Chiwetel Ejiofor** est plutôt éteint. L’ensemble offre un très bon moment de divertissement sans temps mort, sans ennui.

The Old Guard (2020) The Old Guard (2020)
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J'ai trouvé ce film malgré un scénario archi classique très bon côté réalisation et chorégraphie de combats. Charlize Theron est très convaincante dans son rôle de leader ainsi que le reste du casting qui fonctionne très bien

Les frères Blues - The Blues Brothers (1980) Les frères Blues (1980)
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Un grand film du génial mais très irrégulier John Landis, film totalement déjanté réalisé en 1980, qui est devenu culte et, il faut le reconnaître, n’a pas vraiment vieilli. Mais le délire peut-il prendre de l’âge ? Les frères Blues vont donc mettre Chicago et sa région à feu et à sang pour monter un concert dont les recettes permettront de sauver l’orphelinat de leur enfance. Les meilleurs vont apporter leur contribution : je cite entre autres Ray Charles, James Brown, Aretha Franklin, Cab Calloway, John Lee Hooker qu’il intègre dans un bœuf de folie ! Et il sait faire ; il va peu après monter le clip « Thriller » de Michael Jackson, rien que ça ! Et ce feu d’artifice musical va exploser dans un déroulé de cartoon où nos deux branquignols vont devoir échapper à la moitié de la police de l’état, à une furie mystérieuse mais explosive, une bande de nazis dégénérés (pléonasme) et quelques brutes un peu cow-boys. Courses poursuites à la Tex Avery, primes à la casse, ça ne se raconte pas, on s’accroche et on se laisse emporter en oubliant le triste monde où l’on vit.

L’homme du Nord - The Northman (2022) L’homme du Nord (2022)
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« **The Northman** » est un très bon thriller d’action disposant d’une histoire captivante, d’une intrigue audacieuse et d’un développement sanglant. Le rythme varie de modéré à soutenu, le récit est fluide et la narration est linéaire. Le scénario installe une tonalité nihiliste et la mise en scène plante une atmosphère macabre et surréaliste. La photographie est superbe, la musique est enveloppante et le montage est propre. La distribution offre de très bonnes prestations où **Nicole Kidman** et **Alexander Skarsgård** sortent du lot. **Willem Dafoe** livre également une contribution passionnée à travers un personnage allumé. L’ensemble est un divertissement primal, nerveux et totalement absorbant qui trébuche légèrement lorsqu’il cherche de la profondeur. À voir !
**Lire ma critique complète :** https://wp.me/p5woqV-aLF

Morbius (2022) Morbius (2022)
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« **Morbius** » est un film médiocre disposant d’une histoire bancale, d’une intrigue beaucoup trop usuelle et d’un développement désastreux. Le rythme est haché, le récit manque de fluidité par endroits, et la narration fait appel à plusieurs flashbacks. La photographie est effroyable, la bande originale manque de punch et le montage est confus à bien des égards. La distribution fait ce qu’elle peut avec ce qu’on lui offre, mais **Jared Leto** n’est pas à sa place dans ce rôle alors que **Matt Smith** semble s’éclater dans le rôle du méchant. L’ensemble est assez horrible à regarder et ne peut en aucun cas faire l’objet d’une recommandation, bien au contraire !
**Lire ma critique complète :** https://wp.me/p5woqV-adw

Adam à travers le temps - The Adam Project (2022) Adam à travers le temps (2022)
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« **The Adam Project** » est un très bon film d’action de science-fiction disposant d’une histoire familière, d’une intrigue consistante et d’un développement sémillant. Le rythme est soutenu, le récit est fluide et la narration court sur plusieurs époques à travers le temps. La photographie est d’un très bon niveau, la bande originale est plaisante et le montage donne beaucoup de vivacité à l’ensemble. La mise en scène proposée par **Shawn Levy** est dynamique et rondement menée. La distribution offre de très bonnes prestations. Le duo formé par **Walker Scobell** et **Ryan Reynolds** fonctionne très bien. Un film divertissant et parfois même émouvant. Pourquoi s’en priver ?

Anormal - Old (2021) Anormal (2021)
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«**Old**» est un bon thriller disposant d’une histoire originale, d’une intrigue captivante et d’un développement soigné. Le rythme prend de la vitesse progressivement, le récit est fluide et la narration est linéaire, l’histoire se déroulant sur 48 heures. La photographie est somptueuse tout en offrant un aspect inquiétant à une plage qu’on jugerait aisément comme étant idyllique. Les effets spéciaux venant présentés les effets du vieillissement sont très bien réalisés. Les quelques scènes gores sont plutôt percutantes. La bande originale est sobre et le montage est maîtrisé malgré cette tendance récurrente du réalisateur qui consiste à expédier les dernières explications, clés de la compréhension de l’intrigue, en quelques minutes seulement. La distribution offre de bonnes prestations dans l’ensemble sans qu’un acteur en particulier ne tire son épingle du jeu. L’ensemble est une agréable surprise et démontre que **M. Night Shyamalan** peut encore nous surprendre tout en nous divertissant et en nous invitant à la réflexion. Dans le cas présent, sur les effets dévastateurs du vieillissement…
**Lire ma critique complète :** https://wp.me/p5woqV-awC

Power Rangers (2017) Power Rangers (2017)
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Étant un grand fan dans mon enfance de _Mighty Morphin Power Rangers_, c'est avec un grand plaisir que je suis allé voir le film. On se retrouve dans un univers familier mais dont l'histoire est réellement travaillée. Le film s'attarde sur toutes les petites choses qui nous manquent dans la série. En effet, 80 à 90% du film montre comment de jeunes humains en sont arrivés à être des Rangers et surtout, ce que ça signifie.
On retrouve toutes les valeurs diluées dans la série : l'esprit d'équipe, le dépassement de soit ainsi qu'être un héro, ce n'est pas seulement casser du monstre, mais plutôt être honnête, courageux, respectueux et empathique.

Le cercle : Le pouvoir de tout changer - The Circle (2017) Le cercle : Le pouvoir de tout changer (2017)
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Un film bouleversant et vraiment dans l’aire du temps, d’autant plus qu’il est sorti en 2017. À voir absolument

Kingsman : Première mission - The King's Man (2021) Kingsman : Première mission (2021)
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Autant les deux premiers étaient parvenus à être distrayants, autant ce dernier opus est une des pires daubes que j’ai pu voir dernièrement.

Groenland - Greenland (2020) Groenland (2020)
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Préparez vous à passer un excellent moment avec ce thriller formaté et très américain mais d’une efficacité redoutable. Ce divertissement nerveux privilégie la psychologie des personnages avec leurs réactions dans ce chaos apocalyptique au détriment du tout spectaculaire. Les effets spéciaux sont d’excellentes qualités avec un bon dosage tout au long du film. Les ficelles sont parfois un peu grosses, les retrouvailles irréalistes mais le scénario remplit son cahier des charges, certes, sans surprise mais avec l’ambition de ne pas surfer sur une surenchère indigeste comme bon nombre de blockbusters. Bravo !

Opération avant l'aube - Zero Dark Thirty (2012) Opération avant l'aube (2012)
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« **Zero Dark Thirty** » est un bon film historique disposant d’une histoire singulière, d’une intrigue intéressante et d’un développement détaillé. Le rythme est variable, le récit peut s’avérer complexe par endroit, et la narration est linéaire. La photographie offre une belle variété de lieux, de villes et de décors. Les scènes d’action sont très efficaces. La bande musicale est très agréable et le montage fait la part belle à la précision des détails des investigations. La distribution offre de bonnes prestations, dominées par la performance de Jessica Chastain dans un rôle de femme déterminée et perspicace. **Jason Clarke** livre un personnage plus dur en surface qu’à l’intérieur, rongé par ses actions. **James Gandolfini** livre ici l’une de ses dernières prestations avant son décès en juin 2013. L’ensemble est suffisamment prenant pour obtenir un divertissement de qualité avec ce film primé aux Oscars ainsi qu’aux Golden Globe Awards.

Le Post - The Post (2017) Le Post (2017)
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Encore un grand film de Spielberg qui se maintient vraiment au sommet. On passera sur les inexactitudes historiques qui ne changent rien au fond et qui sont plutôt des batailles d’ego entre le « Post » et le « Times », pour se laisser emporter par ce film admirablement mené, découpé et monté. Un film politique qui s’attaque avec brio aux maux des USA – gouvernants menteurs et va-t-en guerre, imbecillité congénitale – qui sont en pleine résurgence depuis que ce pays s’est fait… trumper. Mais aussi un beau film sur une femme, grande bourgeoise désorientée dans une société machiste , qui s’affirme peu à peu comme une dirigeante de presse courageuse et brillante. C’est aussi, mais sans racolage sentimental, une belle histoire de conscience et de confiance entre un homme et une femme qui changeront pour un temps la presse américaine. Leurs interprètes sont à le mesure de leur réputation même si Meryl Streep est d’une « gentillesse » un peu excessive qui sonne légèrement faux à certains moments. Les seconds rôles, magnifiques machos empapillonnés et customisés, très con…descendants, sont tous parfaits. Le film d’une grande histoire que l’on revivra 40 ans plus tard avec les révélations de Snowden dans le « Guardian ».

Le Rocher - The Rock (1996) Le Rocher (1996)
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« **The Rock** » est un très bon film d’action disposant d’une histoire originale, d’une intrigue standard et d’un développement particulièrement musclé. Le rythme est soutenu, le récit est fluide et la narration est linéaire. La mise en scène nerveuse livrée par **Michael Bay** signe clairement son style et laisse explicitement entrevoir ce que sera la suite de sa carrière. La photographie est sympathique, la bande musicale est dynamique et le montage est cohérent. La distribution offre de très bonnes prestations dans l’ensemble. La paire formée par **Sean Connery** et **Nicolas Cage** fonctionne parfaitement avec l’apport d’une bonne dose d’humour. **Ed Harris** offre une très bonne performance dans le rôle du principal antagoniste. L’ensemble est très divertissant et apparaît comme faisant partie des films particulièrement représentatifs des années 1990. À voir ou à revoir sans hésiter !
**Lire ma critique complète :** https://wp.me/p5woqV-bKb

6 Underground (2019) 6 Underground (2019)
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« **6 Underground** » est un très bon film d’action disposant d’une histoire basique, d’une intrigue simple, mais d’un développement à couper le souffle. Le rythme est très dynamique, le récit est fluide et la narration fait appel à plusieurs flashbacks. La photographie est vaste basée sur une grande variété de sites, de décors, d’ambiances. La bande originale est très sympathique et le montage offre beaucoup de peps à un film déjà très énergique. La distribution offre de très bonnes prestations. **Mélanie Laurent** et **Adria Arjona** apportent du charme au service de personnage redoutable, **Manuel Garcia-Rulfo** a des faux airs d’**Antonio Banderas** alors **Corey Hawkins** arbore un look à la **Jamie Foxx**. À travers la lecture des nombreuses critiques négatives, je me demande toujours s’il n’y a pas une nouvelle pathologie que je nommerais Netflixophobie. À croire que la critique professionnelle, mais pas que, ne s’extasie plus que pour des films de genre. « **6 Underground** » est exactement ce que je veux voir comme film. Un pur divertissement. La masturbation intellectuelle me fatigue profondément. Suivre la vie de Monsieur tout le monde, les difficultés pour finir ses fins de mois, la crise de la quarantaine, ne m’intéresse pas. Je n’ai pas besoin d’aller au cinéma pour me plonger dans la vie d’un autre, la mienne me suffit amplement. Je regarde un film pour me distraire, pour me changer les idées, pour m’amuser. Découvrir la vie d’un chômeur, d’un sans-abri ou d’un migrant n’a rien de divertissant. Je peux prendre conscience de la misère humaine en regardant des reportages ou des documentaires voire même en observant les gens qui vivent autour de moi. Le **Netflix** bashing systématique sous prétexte que ce n’est pas du « vrai » cinéma, c’est de la grosse connerie. Ainsi, donc si vous êtes fan de film d’action, de séquences spectaculaires et des cascades impressionnantes, « **6 Underground** » est fait pour vous.

Alien : La Résurrection - Alien Resurrection (1997) Alien : La Résurrection (1997)
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**La Parfaite Évolution.** La Résurrection commence par une histoire diabolique avec son personnage et la créature dans un vaisseau. Son rythme vif et une équipe de choc débarque lors d'horribles expériences sur un élevage. Une accélération meurtrière engage le combat flippant avec une SF d'avant-garde aux effets grandioses et son style académique permettent ce lugubre spectacle. Une inexorable fuite aux imposantes créatures dans un combat survolté libère le dénouement aux formes d'une abstraite mutation, pour l'ultime combat entre la belle et la bête.

El Camino : Un film "Breaking Bad" - El Camino: A Breaking Bad Movie (2019) El Camino : Un film "Breaking Bad" (2019)
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Fait à la suite de Breaking Bad (2008), ce film fait la part belle au parcours de Jesse suite à son évasion de chez ses tortionnaires et la mort de Walt.
Si vous n'avez pas vu la saga Breaking Bad, attendez pour voir ce film car vous n'y comprendrez rien et c'est dommage.
Au début, quelques séquences, sans trop d'intérêt, censées être des parenthèses dans des séquences de Breaking Bad sont l'occasion de revoir un peu Mike et Walt sinon, tout le film concerne le devenir de Jesse Pinkman et c'est très intéressant.
On a adoré.

Fear the Walking Dead (2015) Fear the Walking Dead (2015)
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FTWD is the kind of show you want to like before you have actually seen it. Like a spin-off of a popular movie from Marvel's Avengers.
You think you know it already, that you almost love it already.
I'll stop you right there. Think not.
FTWD is not TWD.
Well, there are still a few things in common :
* Characters are described very sparingly as they appear on screen. Wait for that episode where you will get a deeper story of your favorite character. The flashback method is still heavily used in FTWD.
* The main characters share the same (simple) psychologic schemes with TWD : violent and lonely. And that's it.
The rest is a very very very long and slow collection of episodes.
The rythm is badly handled. From the pilot. I mean, episodes go from 45min to a little less than an hour. You can't set many different levels of rythm, or your scenario is probably cut to little pieces of unnecessary scenes.
When you deal with the TV show format, you set a whole rythm for an entire episode. Which will evolve through the season and give a pleasant, progressive (or not) flow.
FTWD is full of unnecessary scenes. Full of it. I won't spoil the whole thing, but trust me. I was actually asking myself many times "who cares?" during the show.
Almost never in TWD.
The cast. I apologize to all cast members for what I will say. It is not good. Not one bite.
* Kim Dickens has zero charisma. Maybe negative. The antithesis of Melissa McBride or Danai Gurira. Sorry Kim, you weren't made for this, I truly believe.
* Cliff Curtis is good when playing second fiddle in some indie movie. But he can't, and won't, carry the show alone, he is just not that guy we want to see survive the apocalypse. And the producers got this pretty quickly with season 3. Cliff, please, just go back play a cool scientist in some sci-fi B-movie and die before the one hour mark. Thanks.
The only guy who deserves a little attention is Nick. Because he's mad. Because we've known from the pilot that he is a former drug addict, which means weak, or human. And because he's the only guy who uses his fuc*** brain and makes clear, smart, true choices to survive.
What else? Too little action (which is complicated when you have 50min to go), too many secondary characters that we don't even remember their names or faces, and a very VERY **VERY DISAPPOINTING** intro.
Just the treatment given to the intro means like "we don't care. No money, no time".
I don't think my opinion is better than others', I only think it is widely shared.
Peace.

Dracula d'après l'oeuvre de Bram Stoker - Bram Stoker's Dracula (1992) Dracula d'après l'oeuvre de Bram Stoker (1992)
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**Les Sévères Désirs du Comte.** Dracula commence en 1462 avec son personnage, puis au 19ème siècle avec une superbe esthétique, mais long à se mettre en place dans une réalisation académique quasi parfaite et un rythme violent où tous se rejoignent. L'arrivée d'un nouveau personnage relance l'intérêt et l'action, car sa dimension grosse production délivre les détails de sa passionnante créature, qui opère le passage du fantastique à l'horreur. Le dénouement déchaîne une longue chasse maléfique, pourtant en suivant le roman cette œuvre oublie, la dimension cinématographique de sa bête féroce.

L'Homme en feu - Man on Fire (2004) L'Homme en feu (2004)
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« **Man on Fire** » est un très bon film d’action disposant d’une histoire usuelle, d’une intrigue captivante et d’un développement intéressant. Le rythme monte progressivement en puissance, le récit est fluide et la narration est linéaire. La photographie nous permet de bien nous immerger dans les différentes strates de la société mexicaine, la bande originale est très sympathique et vient très bien accompagner l’ambiance du métrage, et le montage est cohérent avec des séquences très dynamiques multipliant les différents plans lors de certaines scènes d’action. La distribution offre de très bonnes prestations où **Denzel Washington** se détache clairement du lot et où **Dakota Fanning** laisse lumineusement apparaître qu’elle est faite pour jouer la « comédie » et ce malgré son très jeune âge. L’ensemble se laisse agréablement regarder et permet de passer un agréable moment de divertissement.
**Lire ma critique complète :** https://wp.me/p5woqV-bbj

L'homme Gémeau - Gemini Man (2019) L'homme Gémeau (2019)
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S’il est dommage que la bande-annonce ait révélé une grosse partie de l’intrigue, Gemini Man est un bon petit film qui se laisse tranquillement regarder, et ne donne pas le sentiment d’avoir perdu son temps, bien au contraire. Le tournage avec des caméras Arri Alexa en numérique en 120 images par secondes donne un aspect particulier à l’image, qui tient presque plus de la photographie animée que du cinéma traditionnel, mais la qualité est bien là et surpasse ce à quoi on est habitué.

Hellboy II : L'armée d'or - Hellboy II: The Golden Army (2008) Hellboy II : L'armée d'or (2008)
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**Le Prince et Sa Guerre.** Hellboy 2 commence par sa légende des légions d'or avec son prince, dans des images épatantes. Un style de superproduction bluffant reprend l'histoire pour sa 1ère opération et la 1ère scène choc. Une histoire aux superbes créatures ouvre la porte d'un royaume magique avec la magnifique confrontation, qui libère un ancien Dieu. Une bonne romance relance le combat pour un dénouement aux fantastiques décors et une étrange magie à la source de sa légende. Cette suite perd en grand spectacle mais brille par l'histoire et sa violence.

La furie d’un homme - Wrath of Man (2021) La furie d’un homme (2021)
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« **Wrath of Man** » est un très bon thriller d’action disposant d’une histoire familière, d’une intrigue structurée et d’un développement original. Le rythme est soutenu, le récit est fluide et la narration fait appel à de nombreux flashbacks. La photographie est agréable, les scènes d’action sont rondement menées. La bande musicale vient très bien accompagner l’atmosphère et offre du dynamisme aux fusillades et différentes confrontations physiques. Le montage est atypique et permet de captiver pleinement le spectateur. La distribution offre de très bonnes prestations avec un **Jason Statham** dans son élément et un excellent **Scott Eastwood** dans le rôle de l’antagoniste. L’ensemble offre un très bon moment et peut aisément bénéficier d’une recommandation.

Mars attaque! - Mars Attacks! (1996) Mars attaque! (1996)
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Film « à la Tim Burton », c'est-à-dire déjanté, délirant sur le style film de SF des années 50, quand « on » voyait des soucoupes volantes partout ! Et Burton se fait plaisir : toujours aussi iconoclaste, il dézingue tout le monde : la Maison Blanche, les militaires, les baba-cools écolos, les scientifiques, les affairistes, les médias, les pacifistes et les bellicistes, les vieux, même l’espèce canine ! Personne n’est épargné ! C’est hilarant, décapant, bourré d’humour, souvent très noir, Mais ça fait du bien ! En outre c’’est très bien interprété par une meute de vedettes du cinéma et de la chanson qui s’amuse autant que nous, avec un Jack Nicholson toujours au summum. Aux Elon Musk et autres dingues qui veulent coloniser les planètes, nous ne pouvons leur souhaiter que de telles rencontres !

Date prévue - Due Date (2010) Date prévue (2010)
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Du très bon humour. Duo de folie.

Mauvais garçons II - Bad Boys II (2003) Mauvais garçons II (2003)
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Bon divertissement et beaucoup d'actions et drôle parfois.

La favorite - The Favourite (2018) La favorite (2018)
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Si l’agréable Marie Stuart, reine d’Ecosse mettait surtout en avant un duo féminin exceptionnel, la Favorite le surclasse dans sa manière d’exposer un fait historique tout en puisant allègrement dans toute la grammaire et la syntaxe du VIIe Art, permettant ainsi au profane de découvrir un cinéaste d’exception tout en profitant du talent incontestable de trois formidables comédiennes.
Les deux films ont d’ailleurs, sans le vouloir, un authentique lien de parenté de facto puisque la reine Anne Stuart est l’arrière-arrière-petite-fille de Marie Ière d’Ecosse. Femme de santé fragile, tant physique que mentale, elle est arrivée au pouvoir sans trop l’espérer, sa belle-sœur étant décédée sans héritier ; c’est grâce à la volonté prophétique de son oncle Charles II, qui exigea qu’elle fut élevée dans la foi anglicane (alors que son propre père était catholique), qu’elle put ainsi monter sur le trône réunifié et devenir reine d’Angleterre et d’Ecosse, en une époque fortement troublée par la Guerre de Succession d’Espagne. Nous sommes au début du XVIIIe siècle et la Grande-Bretagne s’enlise dans un conflit sanglant contre ses meilleurs ennemis, les Français. Entre deux crises de goutte qui la font souffrir et parfois délirer, Anne donne régulièrement, quoique à mi-voix, son accord aux propositions de lois soutenues par les Tories qui représentent la vieille noblesse mais commence à favoriser progressivement le parti opposé, celui des Whigs, qui souhaitent prolonger la guerre sur le continent (malgré le considérable effort financier que cela implique et l’impact qu’il engendre sur le peuple écrasé d’impôts). Malgré quelques sursauts de conscience, elle suit en cela les indications de sa protégée, Lady Sarah Churchill, femme du duc de Marlborough devenu un héros national suite à sa victoire à Höchstädt. Sarah, la bonne amie de la reine Anne depuis fort longtemps, jouit d’une situation plus que privilégiée à la Cour : femme de caractère, indépendante et sûre d’elle, elle manipule à sa guise les sentiments de la monarque et profite de ses caprices, recevant par exemple en cadeau un splendide château, le palais de Blenheim, celui-là même où devait naître, des décennies plus tard, Winston Churchill, l’un de ses descendants célèbres (l’autre étant Diana Spencer).
Au début du métrage, Lady Sarah est véritablement la femme de l’ombre, celle avec laquelle il faut traiter, la réelle tenante des décisions politiques et économiques. Malgré sa position outrageusement favorisée par ses relations intimes avec la reine, elle ne suscite guère plus que quelques rares réactions hostiles d’une Cour exclusivement masculine où se bousculent les prétendants aux postes les plus en vue du Gouvernement. L’ambiance est paradoxalement débridée, les intrigues de palais rythmant une vie ponctuée d’orgies et de fêtes bien arrosées, afin sans doute de tromper l’ennui et d’oublier la situation catastrophique du royaume qui croule sous les dettes et craint une menace d’invasion de l’Ecosse par les troupes de Jacques François Stuart, demi-frère de la reine, qui tente, avec l’appui des Français, de s’y faire reconnaître roi. Anne, quant à elle, se morfond dans sa douleur persistante qui fait écho à celle, plus pernicieuse, de la perte de ses enfants (aucun de ses dix-sept accouchements n’a engendré un bébé longtemps viable). C’est à ce moment que débarque Abigail Masham, qui vient quémander un poste auprès de Sarah à qui elle est vaguement apparentée : ruinée par son époux, elle a perdu son titre de noblesse et mise tout sur les vestiges de relations anciennes. Bien qu’offusquée par la tenue négligée (et l’odeur nauséabonde !) de cette jeune femme, Lady Churchill consent à lui pourvoir un emploi aux cuisines… sans se douter qu’elle venait d’introduire la louve dans la bergerie royale.
La force de caractère, l’intuition aiguë et l’ambition d’Abigail lui feront gravir une à une les marches la rapprochant du pouvoir, et, par ainsi, de la possibilité de retrouver un titre et un honneur perdus. D’abord faussement soumise mais à l’écoute de chaque rumeur de couloir, Abigail va se poser en rivale numéro 1 de la pourtant indéboulonnable Lady Churchill, dans une relation à trois ambiguë et pernicieuse.
Tourné en décors et lumières réels, la Favorite met en scène un magnifique trio d’actrices, très complémentaires. Olivia Colman y brille de mille feux, soulignant son exceptionnel naturel (déjà tellement visible dans la série Broadchurch) par une ardeur et une profondeur de jeu insoupçonnées : elle campe une reine bien moins passive et amoindrie qu’elle ne le laisse penser, plus lasse qu’impuissante, qui s’amuse comme une folle de la jalousie grandissante de sa favorite et amie à l’encontre de sa nouvelle femme de compagnie. Cette dernière est interprétée par une Emma Stone toujours aussi fraîche et pimpante mais insensiblement plus subtile, dissimulant habilement un véritable machiavélisme sous ses dehors angéliques. En face, dans la peau d’une redoutable et impressionnante Lady Sarah Churchill, Rachel Weisz retrouve un peu de ce magnétisme qui rayonnait d’elle dans des rôles comme celui d’Isabelle dans the Fountain, mais sous des dehors froids et pragmatiques qu’elle maîtrise parfaitement. Leur jeu délicieusement pervers de la chatte et de la souris éclipse forcément la présence du casting masculin, Nicholas Hoult parvenant à grand peine à exister là où le piquant Mark Gatiss tire tout de même son épingle du jeu.
Toutefois, si l’interprétation est à ce point remarquable (et remarquée, l’Oscar et le Golden Globe étant amplement mérités pour Colman), elle a eu besoin d’une non moins remarquable mise en scène. Yorgos Lanthimos délivre en effet un film impressionnant par ses partis-pris esthétiques et techniques, jouant malicieusement de panoramiques rapides dans les scènes intimes et les entrées de champ et usant avec un certain aplomb d’objectifs très grand angle, type fisheye, qui déforment la perspective sur les bords, offrant un spectacle particulièrement singulier, parfois déroutant, à la composition ludique sachant capter l’attention. Les travellings avant et arrière se multiplient et alternent avec des cadrages très serrés mettant en évidence l’irrégularité du grain de peau de ces courtisans trop fardés pour être honnête, desquels se démarquent des femmes plus naturellement maquillées, aux mèches rebelles et aux lèvres expressives. Une réalisation presque frivole qui épouse les frasques d’une Cour qui se replie sur elle-même et sait jouer des relations silencieuses, celles qui se nouent dans la pénombre complice d’un corridor obscur, dans la tiédeur solennelle d’une somptueuse bibliothèque, dans la soyeuse harmonie des draps de lits royaux.
La Favorite est en cela une œuvre plus qu’intéressante, qui sait faire fi des conventions, respectueuse de l’époque tout en multipliant les clins d’œil anachroniques, débordante de vitalité et de loufoquerie, touchante autant qu’outrageuse, aussi subtile que provocatrice, dépravée et sensuelle à la fois. A voir absolument.

Alien 3 - Alien³ (1992) Alien 3 (1992)
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**Les Double Y Face à l'Indestructible.** Alien3 version longue commence par son personnage et la créature dans l'espace. Des images magnifiques grâce au passage en numérique lancent l'histoire avec des détenus spatiaux. Une transition divine relance son thème avec une mise en scène fantastique jusqu'au retour du monstre. Son univers génial débute un massacre aussi puissant que sa trame et sombre dans la folie. Le combat engage une violence extrême et sanglante lors d'une longue traque machiavélique aux sublimes révélations.